No Man’s Sky – Vers l’infini, et au-delà !

Lors de l’E3 2014, le titre No Man’s Sky du studio Hello Games s’était illustré au travers d’une vidéo pour le moins entraînante et forte de promesses. Explorer l’univers infini, prendre son vaisseau et partir dans l’espace pour aller conquérir des planètes inconnues. C’est très très alléchant, surtout chez UnKnown PiXel où on aime la science-fiction (entre Alien et Mass Effect, vous avez du vous en rendre compte). Le monde de No Man’s Sky, pour être sans limite, sera généré de manière procédurale ce qui veut dire que le jeu créera lui-même ses planètes avec leurs propres écosystèmes. En outre Sean Murray, un des petits gars de chez Hello Games, a répondu à quelques questions anodines sur les limites de cet univers.

« Si vous visitez une planète virtuelle à chaque seconde, notre propre soleil sera mort avant d’avoir pu toutes les voir. Nous essayons de faire quelque chose qui n’a jamais été réalisé auparavant. Aucun jeu n’a permis d’explorer une planète du sol au ciel, d’y découvrir des formes de vie, une économie, explorer des lacs, des grottes, des canyons, des chutes d’eau, voler dans la stratosphère et partir explorer de nouveau l’espace. C’est un énorme défi. »

C’est très prometteur et inutile de vous dire que j’ai craqué mon slip mais j’ai tendance à l’emportement. Les planètes ainsi créées ne risquent-elles pas de devenir fades ? Ils promettent économie, écosystème, espèces différentes mais j’ai peur qu’au bout d’un moment on ne tombe que sur les mêmes choses réarrangées différemment tout simplement. Ne nous emballons pas, des promesses, les joueurs en ont la tête farcie. Mais il est si doux d’y croire.